Son absence me fige. Se lever et se rendre compte que l’un de ses territoires a complètement disparu, englouti par je ne sais quel tourment intérieur, me paralyse. Je fixe l’écran, je tripote nerveusement une radio digitale à la recherche d’une chanson qui pourrait rendre compte de ce qu’il se passe sous ma peau. Mais ma monomanie me conduit toujours vers le même titre. Dehors il y aurait plein de raisons d’espérer, le soleil, la contestation, mais je préfère rester là, à dérouler Black Guitar à l’infini.
C’est vibrant.
Ton blog dans mes favoris, immédiatement.
Je suis en veine ce soir. 🙂