Lundi. Je regarde quand même les statistiques du blog. Elles donneraient presque envie d’aller se faire voir ailleurs. On écrit d’abord pour soi, parait-il, mais dans ce cas-là autant se contenter d’un bon vieux carnet. Bloguer au temps de 20six ça avait une autre gueule. Je bois un verre, le jour est encore là, bientôt la nuit montera, comme l’affirme un petit garçon.
Je pourrais écouter des millions de fois Word Of Life de Bill Fay. Je pourrais écouter des millions de fois Bill Fay. L’album s’appelle Who is the Sender?, il sort bientôt.
Là-haut c’est War Machine, sa plage 2.
How Little me fait pleurer.
La nuit monte enfin.
c’est clair qu’un carnet ferait l’affaire, mais vous attendez quelques choses peut-être, savoir quoi….une reconnaissance ? des témoins de votre vie ? peut-être simplement que le papier et le crayon appartiennent à un autre temps. J’ose à peine commenter, je le fais quand même.
Ah, je n’avais pas fermé les commentaires.
Une reconnaissance ? Peut-être. Des témoins de ma vie ? Non.
On y reviendra au crayon et au papier.
Merci d’avoir commenté en tout cas. 😉
je me permets puisque c’est ouvert…je n’attends pas vraiment de réponse , mais pourquoi fermer les commentaires ? c’est dommage je trouve. Est – ce que justement ce n’est pas pour avoir un retour qu’on écrit pas sur un carnet? je sors sur la pointe des pieds….:-)