Si je soulevais le voile d’Isis, je deviendrais donc immortel. Pas sûr que cela me chante. Je ne crois pas avoir écrit que je renonçais au Monde. Mais aux sentiments qui se déploient en moi.
Je pourrais aussi rester assis. Sur un banc, l’épaule dénudée, prête à recevoir le voluptueux imago.
Aura-t-il alors envie de frotter ses ailes à mon impétigo ?