Apprendre à ne plus vivre seul. c’est un peu tôt.
J’ai l’impression que l’on me nique au boulot. Que l’on me cantonne aux tâches basses du front. Celles qui font reculer la pendule. Qui m’emmerdent au plus haut point. En même temps je manifeste si peu d’ardeur. Hein, Rocco ! Souffre. Raidi. Par le froid qui enlace tes ligaments. Tes ligues d’amants. Qui se plient à tes je. On me refile la crasse. Un tas de taf sans éclats. Je pourrais me faire une armure. De taffetas. Mais cela ne va pas de soi. De moi. Ego à la con. Morgue enfantine. Le petit a le droit de faire son trou. Le mien, je n’ai plus qu’à me jeter dedans.
J’ai lu ceci tout à l’heure : « substituer au moi refermé sur lui-même, le je de la relation. » (George Haldas)
Il y a des filles qui prennent leur bain. Et des garçons qui chantent tout à côté…