« Il faut me chérir, faire attention à moi, ne jamais partir. Je pourrais bien m’effondrer si vous n’êtes pas à côté. Cherchez, approchez, approchez-vous encore, sans vous je suis mort. Il ne faut jamais m’oublier, il ne faudrait pas m’oublier. Je ne laisserai pas de beaux bébés, pas de veuve éplorée, pas d’amis, pas de fortune. Je ne laisserai rien et après… Après la page sera tournée. Et tout, comme avant, pourra continuer. Je n’aurais été qu’une parenthèse enchantée dans votre merdier. »