24 images très floues par seconde d’amour fou

Quand je vais à Paris, que les temps de transport me laisse un peu trop de cerveau disponible, je gamberge je me remémore je revis gorge nouée poings serrés (je cite j’emprunte) les beaux moments que cette ville offrit aux deux esprits épris, gosses passionnels que nous fûmes.

Le Paris des transports, le Paris sans éclat sans ébats sans expos sans promenade sans baisers fougieux, le Paris sans espoir, je vais me le fader encore pendant les trois semaines qui viennent.

J’abhorre juillet en plus.

J’ai pensé à cette superbe chanson de Jean-François Coen et à son clip fabriqué par Michel Gondry.