C’est drôle, on se plante devant le truc avec la volonté de lâcher son bazar, mais y a que dalle qui vient. L’ai-je dit déjà ? L’amour les mots la doublette qui ferait de ma vie un paradis si je parvenais à les vivre sans entrave. Mais les mots fatiguent. Les vils les outrageants surtout. Qui ne cessent de faire campagne contre moi toi nous. Ils ne sont plus les porte-parole du désir du manque et de l’attente, ils sont cris de guerre de rage de désespoir.
Là-haut : How We Lost s de The Stargazer Lilies