pour un soupir combien de coups ?*

Parfois ça me fait mal comme si j’avais pris un coup sous la queue. Il fait encore trop chaud, je voudrais la pluie comme dans le Seattle de The Killing. J’ai baissé le volet, ça sent la vie fantomatique le temps du weekend. Je me moque du manque de liant dans cette écriture. Depuis quelques temps il ne s’agit vraiment plus de ça de toute façon.

Comme souvent, la mélancolie* d’Alex Beaupain m’enchante.

2 réflexions au sujet de « pour un soupir combien de coups ?* »

  1. Je m’en vas l’écouter.. L’automne, malgré tout, viendra bien assez tôt. Laisse peut-être encore entrer cette belle lumière rasante (pas chiante) ?

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