Nu dans la crevasse…

Je reviens au journal en morceaux à défaut de pouvoir foutre mon nez sous une aisselle amoureuse. Je suis dans le vide perdu vers les cimes sur l’autre versant. Je passe ma nuit au tamis Muratien. A une époque je l’écoutais comme on trempe son pain azyme dans le vin de messe.

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